Pour nous joindre : snmsu@unsa-education.org ou bien 01 58 46 14 80

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Le concours sur le site du ministère
Pour préparer le concours, le SNMSU propose aux candidats le Mémento du médecin de l’Éducation nationale
LOI n° 2022-217 du 21 février 2022 relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l’action publique locale JORF n°0044 du 22 février 2022
Titre IV : LA SANTÉ, LA COHÉSION SOCIALE, L’ÉDUCATION ET LA CULTURE Chapitre III L’éducation et l’enseignement supérieur Article 144
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport retraçant les perspectives du transfert de la médecine scolaire aux départements, son coût, les modalités envisagées de recrutement et de gestion du personnel et les améliorations attendues sur le fonctionnement des différentes actions menées dans le cadre de la médecine scolaire. Ce rapport indique les moyens permettant, en l’absence d’un tel transfert, de renforcer la politique de santé scolaire et, en particulier, de renforcer l’attractivité des métiers concourant à cette politique. Il peut faire l’objet d’un débat en séance publique dans chacune des deux assemblées.
Le rapport n’a pas été publié dans les délais impartis, à ce jour il a été adressé en juillet 2023 aux DASEN. Nous sommes en attente des arbitrages concernant les perspectives de la médecine scolaire.
Cadre sanitaire pour le fonctionnement des écoles et établissements scolaires 2022-2023
FAQ ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse 23 août 2022
Recommandations de la Haute Autorité de Santé
Place du vaccin vaccin à ARNm COMIRNATY® chez les 5-11 ans – Recommandation vaccinale – mis en ligne le 20 décembre 2021
Place du vaccin vaccin à ARNm COMIRNATY® chez les 12-15 ans – Recommandation vaccinale – mis en ligne le 3 juin 2021
Etant donné le nombre de personnes quittant la zone de guerre en Ukraine et rejoignant la France, la DGS a saisi le HCSP afin d’actualiser son avis de 2015 relatif à la visite médicale des étrangers primo-arrivants, afin de l’adapter à la situation sanitaire de ces personnes et d’appuyer les professionnels concernés.
Le HCSP a pris en compte :
La fiche de synthèse
Les enfants bénéficient, au cours des six premières années de la vie, de 20 examens obligatoires de prévention, pris en charge à 100% par l’assurance maladie. Deux de ces examens sont organisés le plus souvent à l’école : en petite ou moyenne section de maternelle et en grande section de maternelle ou CP. Après l’âge de six ans, un examen de suivi par an est recommandé.
Le résultat de ces examens est inscrit dans le carnet de santé de l’enfant
La page sur le site du ministère de la santé et des solidarités
Guide parcours de soins mis en ligne le 2 mars 2022
Ce guide décrit les soins, l’accompagnement et le suivi médical de l’enfant/l’adolescent(e) en situation de surpoids ou d’obésité. Il réaffirme l’importance d’un dépistage précoce couplé à une évaluation des habitudes de vie. Il détaille le rôle de chacun des professionnels impliqués dans le parcours, et revient sur les situations dans lesquelles ils peuvent être sollicités.
Dès le diagnostic et l’annonce du surpoids ou d’une obésité, la coordination entre les professionnels impliqués dans le parcours, la prévention de la stigmatisation, la communication avec les familles, la co-construction d’un projet de soins personnalisé sont autant d’enjeux au cœur de ce parcours.
Le guide propose :
Rapport d’information déposé par le comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques juillet 2020
Présenté par M. Régis JUANICO et Mme Marie TAMARELLE-VERHAEGHE Députés
CONCLUSION DU RAPPORT
Les rapporteurs considèrent que notre pays comporte de nombreux atouts pour développer une politique de prévention en santé publique ambitieuse et efficace : des lieux d’expertise scientifique pour fonder les actions et des agences pour la mise en œuvre et le suivi des politiques, une pratique de l’interministérialité qui se développe, et des initiatives de terrain, nombreuses et engagées, qui ont fait leurs preuves.
Pourtant, dans le domaine particulier qui a été analysé par cette mission d’évaluation – la lutte contre la sédentarité et la promotion de l’activité physique et sportive – ils ont constaté de nombreux défauts de déclinaison opérationnelle, de pilotage, de formation des médecins, de retard dans l’appropriation des expertises par les acteurs, notamment. Ces défauts font que la France, malgré un effort financier comparable à celui des autres pays, obtient des résultats médiocres dans la lutte contre les grandes maladies et, dans le domaine qui nous occupe, celui de la place accordée à l’activité physique et sportive dans la prévention (primaire, secondaire et tertiaire) apparaît très en retard sur plusieurs de nos voisins européens comme sur d’autres pays de l’OCDE.
Nous avons constaté qu’au niveau de la définition et de la conduite des politiques, l’interministérialité a été mise en place depuis quelques années mais elle est encore insuffisamment marquée, avec un comité interministériel pour la santé qui n’a pas encore imprimé sa marque.
Les stratégies et plans de santé et de prévention sont établis sans synergie entre eux, sans répartition des compétences pour la mise en œuvre entre les différents acteurs aux niveau national, régional et territorial. Ces plans comportent trop peu d’objectifs opérationnels permettant de guider la mise en œuvre et l’appropriation par les acteurs, et rendant ensuite difficiles l’évaluation et le suivi par les organes compétents et par le Parlement.
L’absence de répartition des compétences est d’autant plus dommageable que l’on se trouve avec une multiplicité d’acteurs sans chef de file réel. Une hétérogénéité de l’offre dans le domaine de l’activité physique adaptée s’est développée sur les territoires, mal connue des pouvoirs publics et fragile dans ses financements, qui doivent être obtenus chaque année en provenance de différents financeurs.
Aussi les rapporteurs ont‑ils présenté quelques propositions pour améliorer l’organisation et le pilotage de cette politique, qui doit prendre une place croissante dans les préoccupations des pouvoirs publics, pour préserver la santé de la population et en particulier des jeunes générations, comme pour préserver la soutenabilité de l’assurance maladie à moyen et long terme.
Ils ont proposé de renforcer l’interministérialité par la création d’un ministère délégué chargé de la prévention et des modalités de travail interministériel resserrées et sans discontinuité. Cette mesure permettrait d’imprimer une dynamique au niveau national.
La méthode d’élaboration des plans de prévention en santé et de lutte contre la sédentarité doit évoluer, pour privilégier un document de synthèse réunissant tous les objectifs opérationnels principaux, chiffrés et annualisés, à décliner pour les différentes administrations qui ont un rôle dans la prévention en santé. Le rôle des acteurs régionaux (ARS), départementaux, territoriaux doit être précisé pour la mise en œuvre des plans.
Au niveau régional, le pilotage s’avère difficile dans les grandes régions et doit être rénové, afin de s’assurer que les administrations et autres acteurs (ARS, académie, CPAM, médecine du travail, établissements de santé…) ne travaillent pas « en tuyau d’orgue ». Il serait important que les objectifs régionaux de la prévention et les directives issues de la déclinaison régionale des plans puissent faire l’objet d’une synthèse. La déclinaison régionale des plans pourrait s’appuyer sur les diagnostics sportifs territoriaux et les projets sportifs territoriaux élaborés dans le cadre des Conférences régionales du sport.
Ensuite, une coordination doit être assurée au niveau local, commune importante ou communauté de communes, échelon qui apparaît le pilotage le plus efficace. Des contrats locaux d’activité physique et sportive permettraient de fédérer les acteurs et de connaître les lacunes éventuelles sur les territoires : la notion proposée est un peu plus large que celle de contrat local sportif retenue par la proposition de loi visant à démocratiser le sport, et elle inclut l’ensemble de la population quel que soit son âge.
Au plan local, le déploiement des maisons sport‑santé peut participer à cet essor du recours à l’activité physique adaptée que nous appelons de nos vœux. Ces maisons peuvent devenir le guichet unique d’accueil pour les personnes auxquelles le médecin aura prescrit de l’APA à la suite du traitement d’une pathologie ou pour éviter l’aggravation d’une pathologie. Ces nouvelles structures, dont le cadre a été défini juridiquement, doivent s’implanter dans le paysage territorial, avec le soutien des ARS, et faire travailler ensemble le monde de la santé et le monde du sport, au bénéfice de la santé des patients. Beaucoup reste à faire pour que ces structures bénéficient d’une pérennité financière.
Enfin, cette organisation améliorée ne fera pas tout : la formation initiale et permanente des professions de santé sur les bienfaits de l’activité physique et leur rôle parmi les différentes thérapeutiques est essentielle : les médecins doivent connaître les référentiels établis par la Haute autorité de santé et en faire usage dans leur pratique.
Comme on peut le voir, le développement de la prévention en santé et de l’activité physique et sportive constitue un grand chantier que les rapporteurs continueront à soutenir et à analyser à l’avenir.
L’UNSA Éducation met au cœur de son action la lutte contre toutes les formes de discriminations.
Ainsi, ce guide, accompagné d’un livret détachable et de fiches pratiques, sans être exhaustif, répond à un ensemble de questions que les personnels de l’éducation peuvent être amenés à se poser dans l’exercice de leurs fonctions mais plus largement dans leur quotidien.
Vous y trouverez des repères et des conseils afin de mieux faire face aux LGBT Phobies (ce terme, volontairement englobant, est utilisé pour parler d’homophobie, de lesbophobie, de gayphobie, de biphobie et/ou de transphobie) en milieu scolaire.